Le temps passe et je me rends compte que cela fait maintenant un mois que je n'ai posté aucun billet.
Non pas que je ne suis plus à Mayotte (même si les dernières nouvelles laisse présager un retour plus tôt que prévu).
Non pas que je n'ai pas plongé depuis tout ce temps.
Mais c'était la rentrée. Et, comme pour beaucoup, celle-ci a été bien occupée.
Redémarrage en douceur donc aujourd'hui, avec un nouveau billet d'une nouvelle série (que j'espère longue). Le sujet, déjà traité plusieurs fois (comme un espèce de marronier journalistique de ce blog), m'a été inspiré par deux photos récentes.
Deux nouvelles photos donc, histoire de faire le point sur les poissons-clown que l'on croise à Mayotte.
Des poissons-clown, du genre Amphiprion, il y en a un certain nombre. À Mayotte, on en croise au moins deux. Il y en a peut-être plus mais il ne me semble pas en avoir vu d'autres depuis que j'explore les profondeurs du lagon.
Il y a donc le poisson-clown à bande dorsale. Le plus fréquent je pense. Dont le spécimen ci-dessous... qui a du faire quelque chose qui a déplu à son anémone car il a un peu l'air bloqué à la porte de chez lui.
Poisson-clown à bande dorsale
Le second specimen est celui du poisson-clown à queue jaune, représenté ci-dessous par cette famille unie dans l'adversité, face à la menace que réprésente le gros « truc »
planté devant l'anémone et qui fait des grosses bulles.
Poissons-clown à queue jaune
À noter qu'il ne s'agit pas encore du poisson-clown « Némo ».
De mémoire, Némo était un poisson-clown à 3 bandes comme celui que vous pouvez voir sur cette
page.