10 avril 2014 4 10 /04 /avril /2014 11:59

Après m'être un peu attardé sur les otaries, présentes en très grand nombre aux Galápagos, je passe à un autre animal également très présent sur l'archipel : le requin !

Ils sont moins visibles au premier coup d'œil, puisque masqués par les eaux de l'océan Pacifique, mais tout aussi nombreux que les lions de mer. Ce qui est assez logique puisque ces derniers peuvent servir de repas aux premiers.

Du moment qu'on commence à mettre un peu la tête sous l'eau aux Galápagos on se rend compte rapidement de l'omniprésence des requins, à toutes les profondeurs. Dans 50 cm d'eau aux abords d'une plage où se repose une colonis d'otaries. À 2 ou 3 mètres de profondeur, posés sur le sable au pied d'une roche...

  Requin pointe-blanche
Requin pointe-blanche

Quand on plonge un peu plus profond, à la bouteille, il est tout à fait possible d'en apercevoir à la fois sous ses palmes et au-dessus de sa têtes, entre nous et la surface. Gloups !

  Un requin au milieu de poissons
Requin au milieu de poissons

Mais le plus spectaculaire reste encore à venir :) Sur certains spots de plongée, notamment celui de Gordon Rock, l'attraction consiste à aller se « frotter » aux requins-marteaux.

  Requin-marteau
Requin-marteau

L'expérience est finalement assez facile à tenter : la plongée est peu profonde, mais forcément très intense et spectaculaire : il y a sur site un banc d'une 20e de specimens. Une colonie permanente de requins qui - au sens propre - font des ronds dans l'eau. Ils passent, repassent et re-repassent. Impossible de les louper. Un moment très fort de ce voyage aux Galápagos.

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 10:01

Après la soupe à la grimace, nouveau flash-back avec la récupération d'un autre article de mon précédent blog. Il faisait suite à l'époque, en 2007, à des vacances en Ardèche, du côté des gorges du même nom. Ces vacances ont été l'occasion de tester la plongée spéléo, à peu près la seule solution, dans le coin, pour tremper le bout de ses palmes à une profondeur un peu plus intéressante que les quelques centi- (déci-)mètres de la plupart des rivières du coin.

Voici donc le récit d'une première expérience relativement inédite - mais particulièrement intéressante - que j'ai pu (bien) vivre grâce au centre DiveXtrême avec qui j'avais déjà effectué ma première plongée sous glace quelques mois plus tô, à Chamrousse.

Le matériel

Rien de très nouveau si ce n'est que tout est doublé : deux bouteilles, deux détendeurs, deux manomètres, etc. Seule réelle nouveauté : le casque et sa tripotée de lumières, 4 en l'occurence : 2 principales (à leds) et 2 secondaires.

Petite curiosité : la protection des robinetteries pour éviter les déteriorations dues aux chocs.

Petit inconvénient : la largeur du casque ainsi que les protections de robinetterie empêchent de bien relever la tête - et donc de voir devant soi - quand on nage.

Après le matériel, la règle de base de la plongée spéléo : la règle des tiers. L'idée c'est, pour tout un tas de bonnes raisons motivées par la recherche de la sécurité maximale, de ne pas vider la première bouteille puis la seconde mais de « sucer » un tier de la première bouteille, puis un tiers de la seconde, puis le 2e tiers de la première bouteille, etc.

L'exploration

Étape suivante, après s'être lourdement équipé : la mise à l'eau et l'exploration.

Pour les premiers mètres, rien de très excitant. On entre dans une eau particulièrement chargée, presque plus qu'en Bretagne, c'est tout dire ;-p. Par contre, au bout de quelques mètres, l'eau redevient claire. Ok, il fait sombre... même très sombre, mais l'eau est très claire. On allume alors les lumières principales et...

Et on découvre la galerie qui s'ouvre devant nous et descend doucement dans les profondeurs de la terre. Premières impressions, premières sensations, premières découvertes : les strates de roches, sculptées, découpées par le temps. Au bout du tunnel, un puit, un grand trou noir qui descend à la vertical jusqu'à je ne sais où. Les mêmes sensations mais décuplées par cette descente, cette impression de vol en apesanteur.

Autre sensation : au fond du puit, un petit coup d'œil sur l'ordinateur pour découvrir qu'on est descendu à -55 m ! La plus grande profondeur à laquelle j'étais descendu à ce moment-là. Après tout ça, demi-tour et lente remontée jusqu'à la surface.

Côté bio

Côté bio, pas grand chose à dire. On a cependant pu voir, durant la plongée spéléo, des crevettes troglodytes, des petits crustacés dépigmentés (en d'autres termes, blancs) et aveugles parfaitement adaptés à ce milieu. Ce n'est pas de la bio, mais l'exploration a également permis l'observation des strates de minéraux et de cristaux rouges, orangés.

J'ai pris quelques photos de cette aventure (avant que mon appareil, le MX5-II argentique de Sea & Sea, ne se bloque, grrrrrrrrrrrr). Résultat : une seule image à peu près réussie, montrable en tout cas.

Plongée spéléo
Plongée spéléo, observation de la roche

On peut y voir un bout du lourd équipement nécessaire : casque, lumières, etc. Que faisions-nous à ce moment-là ? L'encadrant de la plongée spéléo était en train de me montrer les roches colorées.

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20 novembre 2012 2 20 /11 /novembre /2012 07:22

Quelques jours de vacances sur l'archipel de Malte pour la Toussaint ont - forcément :) - été l'occasion de plusieurs plongées dans les eaux bleues (et encore relativement chaudes, 23°C) de la Méditérranée. Cette escapade et ces sorties sous-marines feront l'objet de plusieurs articles dans les prochaines semaines, de présentation et de description (en image) de la faune rencontrée. Mais aujourd'hui, rien de tout ça, juste des photos d'ambiance, l'ambiance de la plongée à Malte.

Je l'avais déjà fait en introduction des articles consacrés à ma précédente croisière en mer Rouge. J'ai, de la même façon, tenté de rendre en image l'ambiance d'une plongée dans les eaux un peu chargées des côtes Nord de la Bretagne, de montrer les plongeurs dans leur environnement d'évolution. Je réitère aujourd'hui avec ces quatre premières images ramenée de Méditerranée.

  Plongée à Malte
Plongée à Malte

La plongée à Malte, c'est donc de la transparence, des roches (pas de récif corallien cette fois-ci :) ), des bulles, les jeux de la lumière du soleil qui perce la surface.

  Plongée à Malte

La plongée autour des îles des l'archipel maltais (Malte, Gozo et Comino), c'est aussi du bleu (parfois très intense), une foultitude de petits poissons et quelques épaves.

  Plongée à Malte
Plongée dans la Grande Bleue, au milieu des poissons

  Plongée à Malte
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8 juillet 2012 7 08 /07 /juillet /2012 10:37

Avant de reprendre le fil de mes récentes photos et plongées en Bretagne, je vous invite à une petite escapade dans les Alpes. Quel rapport avec la plongée me direz-vous ? L'hiver, en montagne, les lacs sont gelés. On peut donc y pratiquer la plongée glaciaire. C'est ce à quoi je me suis essayé il y a quelques années. J'en avait fait un article, le 22 fév. 2007, dans mon précédent blog ; Article que je reprends ici.

 

Cela me titillait de m'essayer à une plongée différente de celles habituelles, faites en mer, en Bretagne ou ailleurs. Je souhaitais donc profiter de mes vacances au ski pour goûter à la plongée sous glace. C'est chose faite, j'ai fait mes premières bulles sous la glace, en lac et en altitude. À 2 000 m en l'occurence, à Chamrousse, sur le site des lacs Robert avec le centre Divextreme.

De mon point de vue, une belle plongée, une plongée réussie, c'est aussi un bel environnement, un beau paysage. Comme il est écrit sur le site chamrousse.info : « les lacs Robert sont un joyau, sertis dans un cirque de montagnes ». Malheureusement, je ne pourrai pas vous en dire plus, le jour où j'ai plongé, il faisait un temps de m.... qui peut se résumer en 2 mots : neige et brouillard ! Je m'arrête donc ici dans ma description de l'environnement - certainement magnifique - de cette plongée qui n'en demeure pas moins une très belle expérience.

Acheminage des blocs
Acheminage des blocs... en luge !
Plongée sous glace... ce qui change

L'équipement tout d'abord, constitué d'une combinaison étanche et d'un masque intégrale.

D'accord, la combinaison étanche n'est pas forcément un changement absolument novateur. Nombreux sont ceux qui en ont une pour plonger en Bretagne (notamment). Mais ce n'est pas mon cas. C'était donc déjà une première que de plonger en combinaison étanche.

La seconde nouveauté était le masque intégrale, genre masque à gaz ou masque à oxygène des pompiers, sur lequel est directement fixé le détendeur. On n'a donc rien dans la bouche pendant la plongée. Du coup, on peut respirer avec la bouche mais également avec le nez. On peut parler et même chanter si le cœur nous en dit. Le plus rigolo reste cependant le système d'équilibrage. Avec le masque, le nez est inaccessible. Pour équilibrer on dispose donc de deux petits essuie-glaces (devant les yeux, légèrement en-dessous). Ceux-ci, quand on les manipule, permettent d'appuyer, à l'intérieur du masque, sur le nez et donc de faire notre valsalva peinard.

Plongée glaciaire
Départ pour la plongée sous glace

C'est plus anecdotique mais ce qui change également par rapport à la mer ou l'océan c'est que, sur un lac, il n'y a ni houle (à fortiori quand il est recouvert de glace), ni courant. Ça n'a l'air de rien mais c'est quand même agréable et reposant de plonger sans avoir le sandwich de midi qui a des velléités de remontée :-$

Plongée sous glace... ce qui ne change pas

... ou très peu : sensation, contemplation, découverte.

La découverte est là. Celle d'un nouvel environnement aquatique, vierge et clos. Vierge de faune et de flore (mais, ici, l'intérêt est ailleurs) et clos (à l'exception des trous d'accès).
Nouvelles sensations de marcher sur les mains (ou sur les pieds), de tater la surface de l'eau, par en-dessous.
Contemplation de la glace, de sa structure, des bulles d'air, plus ou moins grosses, emprisonnées qui forment des stalagmites (ou -tites suivant de quel point de vue on se place), des jeux de lumière, particulièrement à proximité des trous d'accès, etc.

Bref, tout ce qui faut - à mon humble avis en tout cas - pour faire une plongée réussie... en attendant d'essayer la plongée spéléo.

Question photo par contre, ça n'a pas été une grande réussite. Je n'avais - à l'époque - qu'un flash intégré sur un appareil encore à pellicule. La lumière frontal de celui-ci se reflète donc sur la glace au point d'éblouir les photos qui, du coup, sont blanches. Au moment des prises de vue, j'ai essayé de ne pas être face à la glace. Mais, visiblement, ça n'était pas suffisant. Il ne me reste donc que les photos d'avant-plongée : l'acheminage en luge (sympa à l'aller, plus dur au retour, à la remontée) et le trou d'accès aux eaux du lac.

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4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 14:43

Mes premières - mais peu nombreuses - explorations sous-marines à Hurghada me persuadèrent qu'une croisière entièrement consacrée à la pratique de la plongée était la meilleure façon de découvrir les trésors immergés de la mer Rouge. Cinq ans plus tard, c'est chose faite. Je suis parti, début février, avec le centre Made in Blue de la Trinité-s/Mer (Morbihan, Bretagne) pour une croisière d'une semaine au départ de Marsa Alam en direction de Saint John's Reef.

Ambiance de plongée en mer Rouge
Ambiance en mer Rouge

Les premiers jours de navigation ont été « sportifs », surtout pour les marins d'eau douce comme moi. Il y a eu beaucoup de vent, donc beaucoup de houle et il fallait avoir le cœur bien accroché (comme tout le reste d'ailleurs à bord du bateau). On se serait cru en Bretagne :)

Mais il en fallait plus pour venir à bout de notre enthousiasme, surtout que le responsable de la croisière faisait en sorte de choisir les sites en fonction des aléas de la météo et de manière à ce nous puissions toujours plonger dans de bonnes conditions. Nous avons donc pu pleinement en profiter et explorer des sites que certains connaissent peut-être déjà : Gota Soraya, Dangerous Reef, Gota Kebir ou encore Um El Eruk pour n'en citer que quelques-uns.

Ambiance de plongée, Saint John Reef, mer Rouge
Ambiance sur Saint John's Reef

Au final, un superbe voyage, une très belle croisière en mer Rouge et une certitude également : Mayotte reste vraiment une destination privilégiée et incomparable pour la plongée ! Il y a de très belles choses à voir en mer Rouge, il y en a encore plus à Mayotte : une faune et une flore plus nombreuse, plus variée, plus dense, des récifs plus vivants. Pourvu que cela dure...

Quoi qu'il en soit, voici ce soir les premières images de ce voyage. Des photos d'ambiance - notamment parce que plus rares sur ce blog - avant de me pencher plus précisément sur la faune et la flore observée pendant ces quelques jours. Des ambiances marines et de plongée à consommer sans modération !

Ambiance marine
Ambiance marine

 

Ambiance de plongée

 

Ambiance de plongée
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10 août 2011 3 10 /08 /août /2011 20:16

En cette période de vache maigre question plongée et photo sous-marine, j'ai - forcément - un peu plus de temps à consacrer aux lectures et à la documentation. C'est ainsi que je suis tombé récemment sur un reportage consacré à l'île de Malpelo et, plus particulièrement, à la « Fondation Malpelo et autres écosystèmes marins » et à sa fondatrice Sandra Bessudo. Plus que l'île en elle-même, c'est l'action de S. Bessudo qui m'a marqué, c'est à elle que j'ai, aujourd'hui, décidé de consacrer un billet.

Fondation MalpeloSandra Bessudo est une biologiste marin franco-colombienne. Directrice des Parcs nationaux de son pays, elle est également à la tête du programme international des Nations Unies sur la protection des requins dans le Pacifique. En 2010, ses activités scientifiques la mènent à la tête du Ministère de l'Environnement colombien.
Mais avant cela, dès 1989, la biologiste travaille à protéger l'île de Malpelo. Ce sommet volcanique au large des côtes colombiennes devient l'objet principal de son action. En 1995, elle réussit à en faire une zone de protection nationale : l'aire protégée du « Sanctuaire de la Faune et de la Flore de Malpelo ». En 1999, elle crée la Fondation de Malpelo qui œuvre à la protection de la diversité marine colombienne. La consécration de tout cela intervient en 2006, quand l'île est classée au Patrimoine Mondial de l'Humanité par l'Unesco.

Site et ressources : www.fundacionmalpelo.org, whc.unesco.org/fr/list/1216

Requins marteauxL'action est belle, la démarche remarquable et l'endroit visiblement magnifique.
À 490 km à l'ouest de la côte de Buenaventura, Malpelo est un sommet volcanique émergé dont les parois plongent à plus de 4 000 mètres de profondeur ! A l'instar de l'archipel des îles Galápagos, l'isolement de l'île a permis le développement d'une faune constituée de nombreuses espèces endémiques. Parallèlement à cela, le milieu marin, autour de l'île, est influencé par les multiples courants qui traversent le secteur. Toutes ces conditions favorables font de l'endroit : « comme une oasis dans un désert océanique pour une grande quantité de poissons pélagiques  » (dixit le site de la fondation).

Chapeau bas donc à cette scientifique dont l'énergie et l'enthousiasme ont réussi à faire bouger les montagnes. et dont l'action - individuelle au départ - va permettre la préservation d'un véritable trésor naturel qui profitera à tout le monde. À commencer par les plongeurs et, j'espère un jour, moi :)

Site et ressources : www.colombia.travel

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 17:18

Une journée dans un petit coin de paradis : Anse Lazio sur l'île de Praslin, aux Seychelles.
Il se dit que c'est l'une des dix plus belles plages du monde : sable blanc, cocotiers, gros blocs de granit, eau turquoise et transparente... et déserte également, à l'exception de quelques poissons. Déserte l'eau ? Pas si sûr, à y regarder de plus près.

 
Raies pastenagues
Raies pastenagues


À y regarder de plus près, le fond sableux est ponctué de petits yeux noirs. En effet, s'y sont réfugiées de nombreuses - plusieurs dizaines - raies pastenagues.

 
Raies pastenagues
Des petites raies


Des petites raies, presque les unes sur les autres. La plupart enfouies sous le sable. Certaines un peu plus actives, c'est-à-dire se déplaçant juste au-dessus du fond.

 
Raie pastenague
Une raie camouflée


Et d'autres, encore plus rares, en plein « vol ».

 
Raie pastenague
Le « vol » d'une pastenague

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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 18:13

C'est, en tout cas, comme cela qu'est présentée cette île comorienne. La plus petite, la plus « sauvage », mais - à priori - la plus belle également de l'archipel.

Et c'est là que nous avons décidé de passer les fêtes de fin d'année, entre forêt primaire et récifs encore préservés.

L'occasion de commencer une série d'articles sur cette île qui, consciente de son patrimoine naturelle, a pris le virage de l'écotourisme. Une voie ambitieuse mais difficile et parfois décourageante face aux tristes réalités économiques.
Raison de plus pour en parler ici, y consacrer plusieurs articles et pour, à mon faible niveau, essayer de la faire connaître et d'en dévoiler quelques-uns de ses trésors.

 
Récif corallien de l'île de Mohéli
Récif corallien de l'île de Mohéli


Aujourd'hui donc, pour commencer, les trésors sous-marins. Quelques vues des récifs coralliens car il s'agit quand même, au départ, d'un blog consacré à la plongée :)

 
Récif corallien de l'île de Mohéli
Récif corallien de l'île de Mohéli


À noter qu'il n'y a pas, sur l'île, d'infrastructure pour plonger en bouteille.
Toute la découverte des coraux, de la faune et de la flore sous-marine se fait donc en P.M.T et apnée.

 
Récif corallien de l'île de Mohéli

 
Récif corallien de l'île de Mohéli

 
Récif corallien de l'île de Mohéli

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30 août 2009 7 30 /08 /août /2009 07:19

Second opus de mes plongées à l'île Maurice, voici un aperçu (non exhaustif) de la faune locale croisée lors de ces excursions sous-marines. Dans le désordre, beaucoup, beaucoup, beaucoup de Ptérois  (ou rascasses volantes), quelques poissons-feuille et murènes, des poissons-pierre, des poissons-clown, quelques trop rares Nudibranches... et encore plein d'autres choses pas forcément photographiées.

Quelques photos en vrac de ces rencontres...

 
Nudibranche noir et rouge
Nudibranche noir et rouge

 
Mérou
Mérou

 
Petite murène
Petite murène

 
Poisson-clown juvénile dans son anémone
Poisson-clown juvénile dans son anémone

 
Poisson-feuille orange
Poisson-feuille orange

 
Poisson-pierre
Poisson-pierre

 
Rascasse volante (ou Ptérois) noire
Rascasse volante (Ptérois) noire

 
Bénitier, Porite et corail mou
Bénitier, Porite et corail mou

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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 05:30

Je l'ai annoncé dans mes précédents articles, notamment celui à propos de mon coup de cœur pour Rodrigues, voici donc les premières photos de mes plongées dans les eaux mauriciennes. Suivront par la suite celles dans les eaux rodriguaises.

En quelques mots, ce que j'ai trouvé de différent à Maurice par rapport aux explorations sous-marines de Mayotte :

1°/ La clarté et la limpidité de l'eau.
Une limpidité qui autorise des photographies en plan large difficilement envisageables à Mayotte. À profondeur identique en tout cas.

 
Plongée sur l'épave du Stella Maru
Plongée sur l'épave du Stella Maru

 
Plongée à l'île Maurice


2°/ La nette tendance des poissons à former de petits groupes (plutôt que des bancs, ce qui serait un peu exagéré).
On en trouve à Mayotte, mais de manière moins fréquente et moins systématique il me semble.
En plus, comme à Maurice les poissons sont sûrement apprivoisés tellement c'est pas croyable comme ils sont peu farouches, ces groupes souvent statiques. Le bohneur pour faire des photos.

 
Banc de poissons tropicaux blancs
Cherchez l'intrus !

 
Poissons tropicaux et récif corallien


3°/ La pauvreté et le mauvais état du récif. De ce que j'en ai vu en tout cas. À ce niveau, Mayotte évolue dans la catégorie supérieure.

La prochaine fois, quelques photos des hôtes de ces eaux

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  • : Plongée et biologie sous-marine, entre Mayotte et la Bretagne
  • : Plongée et biologie sous-marine, entre Mayotte (101e département français et petite île tropicale de l'archipel des Comores, dans l'Océan Indien) et la Bretagne
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